ohm ____________ Guillaume Delsert
Art Work Contact
La Nuit juste avant les Forêt
Création vidéo pour le seul en scène
in-situ et hypnotique de Félicien Grognard,
Pièce de B-M. Koltès, Compagnie des Sirventès.
Avignon, Festival Off 2016.
Un plan séquence chorégraphique de 1h30.
—
Une caméra portée, en tension entre l’incarnation live
du point de vue spectateur et la restitution du pouvoir
de sidération cinégénique de la pièce.
Un travail stylistique sur la déformation de perspective
par le contre emploi de stabilisation logicielle d’image
le comédien se distord dans l’espace de sa fuite. Des
violences de la pièce ce procédé figure tant le trouble
qu’une essence : la porosité des subjectivités en
présence (le personnage / l’œil spectateur / le décors).
—
Un Noir et Blanc d’où la couleur renaît à mesure que se
déploie la nuit, en 1h30 de glissement dans l’obscurité.
La forêt tient le décors au clos d’une dentelle ciel et
ombre. Il y a de la nuit dans le jour, du jour dans la nuit.
Montant avec la nuit, la couleur s’enfouit dans le bruit
numérique de l’image comme le monologue dans les
bruissements de la nature. L’imagination doit se faire
sens pour lire la scène sous la texture : La nuit remue.
Ce n’est qu’un terne virage chromatique qui tente
son réalisme sur le drame jusqu’à ce que d’un feu
jaillissent crus le rouge chair et le bleu du ciel.
Le foyer est étouffé et la saturation avec.
Seul brille au dessus le bleu du ciel révélé.
La nuit est juste sous la forêt.
Création vidéo pour le seul en scène
in-situ et hypnotique de Félicien Grognard,
Pièce de B-M. Koltès, Compagnie des Sirventès.
Avignon, Festival Off 2016.
Un plan séquence chorégraphique de 1h30.
—
Une caméra portée, en tension entre l’incarnation live
du point de vue spectateur et la restitution du pouvoir
de sidération cinégénique de la pièce.
Un travail stylistique sur la déformation de perspective
par le contre emploi de stabilisation logicielle d’image
le comédien se distord dans l’espace de sa fuite. Des
violences de la pièce ce procédé figure tant le trouble
qu’une essence : la porosité des subjectivités en
présence (le personnage / l’œil spectateur / le décors).
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Un Noir et Blanc d’où la couleur renaît à mesure que se
déploie la nuit, en 1h30 de glissement dans l’obscurité.
La forêt tient le décors au clos d’une dentelle ciel et
ombre. Il y a de la nuit dans le jour, du jour dans la nuit.
Montant avec la nuit, la couleur s’enfouit dans le bruit
numérique de l’image comme le monologue dans les
bruissements de la nature. L’imagination doit se faire
sens pour lire la scène sous la texture : La nuit remue.
Ce n’est qu’un terne virage chromatique qui tente
son réalisme sur le drame jusqu’à ce que d’un feu
jaillissent crus le rouge chair et le bleu du ciel.
Le foyer est étouffé et la saturation avec.
Seul brille au dessus le bleu du ciel révélé.
La nuit est juste sous la forêt.